Windows 7 intègre nativement un module de gravure qui supporte les fichiers ISO : le graveur d'image de disque Windows.
Plus besoin d'installer un logiciel tiers de gravure pour les graver. Windows 7 prend en charge la gravure sur CD ou DVD.
Lancer l'explorateur
Puis le dossier où se trouve le fichier avec extension .iso :
Ou sélectionner l'image ISO à graver, puis cliquer sur "Graver l'image Disque"
Elementary OS Luna est disponible à cette page elementary os.org, et la communauté francophone à celle-ci Elementary OS fr. Avec toute la documentation nécessaire à vos besoin. Cette distribution est basé sur Ubuntu 12.04 LTS.
On se retrouve donc avec le même système d'installation, c'est-à-dire
un Live CD qui une fois démarré vous propose de tester la distribution ou
de l'installer sur votre ordinateur. Elementary OS Luna embarque un noyau Linux en version 3.2 par défaut. Si vous désirez l'installer il vous faudra au minimun:
Un processeur de 1Ghz x86(32bits) ou AMD64
512 Mo de mémoire Ram
5Go d'espace libre sur votre disque dur
Mais recommandé:
Un processeur de 1Ghz x86(32bits) ou AMD64
1Go de mémoire Ram
15Go d'espace sur votre disque dur
Lecteur cd ou DVD
Un accès internet
L’installation s’avère aussi facile qu’une Ubuntu classique,elle est très légère et démarre et s’éteint aussi vite que Mate par exemple.
L’interface graphique dérivée de Gnome Shell avec un Dock en bas de l’écran est sobre et plaisante.
La prise en charge des langues a été automatiquement proposée. Le Français a été trouvé et installé immédiatement. La logithèque installe très lentement mais facilement les applications supplémentaires.
Plutôt que de faire un long article voici la vidéo officielle d'elementary OS
Voici également une vidéo de démonstration faite par Tux planet
Pour les passionné du bon son et de la musique dématérialisé, voici un petit accessoire très intéressant. Une petite clé USB qui est un DAC pour récupérer la musique de votre ordinateur.Vous envoyer votre fichier en analogique sur votre chaine Hifi,votre home cinéma ou tout simplement votre casque. Ce DAC AudioquestDrago fly est destiné a remplacer avantageusement votre carte sonde votre ordinateur.
Petit guide du multimédia audiophile autour de l'ordinateur
Si vous installez Windows sur votre ordinateur
autrement que par le CD d’installation fourni avec votre ordinateur, vous allez
remarquer que le programme d’installation ne pose presque aucune question.
Autrement dit, vous n’avez pas d’autre choix que de suivre "bêtement"
le cours de l’installation. Il est dès lors logique que le processus vous
paraisse d’une facilité déconcertante. Autre point jouant apparemment en faveur
de Windows : la majorité des constructeurs de matériel pour PC
développent des périphériques que pour le système d’exploitation de Microsoft.
Celui-ci ne peut pas donc se vanter d’une meilleure qualité que ses concurrents
puisqu’il ne fait que profiter de sa situation d’acteur dominant sur le marché.
Windows n’est pas gratuit ? Généralement lors de
l ‘achat de votre ordinateur, vous acheter la licence d’utilisateur. Mais vous
ne savez pas c’est que vous payer du même coup les licencesd’utilisateur d’internet exploreur, Media
playeur ect..
Quant à Linux opte pour une politique toute
différente : elle permet à l’utilisateur de choisir son
installation et non de la subir. Bien que l’installation soit de plus en plus
simple, elle permet à toute personne qui a quelques connaissances sur le
fonctionnement basique d’un ordinateur (une personne qui, par exemple, a lu ce
guide) de comprendre les étapes d’installation et de les adapter à ses
préférences.
Les
systèmes basés sur Linux ont franchement changés d'aspect avec l'arrivée de
distribution comme UBUNTU Linux Mint, linux mint debian mais aussi Debian réservé à une
période au utilisateur expérimenté qui fait la part belle aux effets graphiques
en tout genre. Tout plaide donc pour au moins à essayer ces systèmes d’exploitation.
LibreOffice4 est disponible sur les dépôts backports de Debian GNU/Linux.
La version 3.5 présente dans
les dépôts de la branche stable me convient bien, mais je suppose
qu’il y a bien des personnes qui ont besoin d’avoir la dernière
version.
La manipulation pour ajouter les dépôts backports est très simple, et à priori ça ne doit causer aucun problème.
Commencer par éditer le fichier sources.list de votre Debian et ajouter la ligne suivante : deb http://ftp.debian.org/debian/ wheezy-backports main
Ensuite, veillez à mettre à jour votre sources.list : su -c 'apt-get update'
Enfin, exécutez la commande suivante pour installer LibreOffice 4:
L'intérêt de ce tutoriel est qu'il me serve d'aide mémoire mais également de faire profiter des utilisateurs de Linux pour la mise en place d'un serveur FTP. Voici en quelques points les principales caractéristiques du serveur que je vais mettre en place :
Chaque utilisateur se connectera avec un identifiant propre. Le système
pourra ainsi logger les actions de chacun (en gros, savoir qui fait
quoi)
Chaque utilisateur disposera d’un espace où il puisse stocker ses fichiers de façon privée
chaque utilisateur accédera à un espace public
Loggez vous en root et tapez :
# apt-get install vsftpd Une fois vsftpd installé, il faudra remplacer le fichier de configuration /etc/vsftpd.conf par le suivant :
# Nous voulons que le serveur fonctionne en mode standalone
listen=YES
#
# On ne veut surtout pas de connexions en mode anonymous
anonymous_enable=NO
#
# On veut que les utilisateurs locaux puissent se connecter
local_enable=YES
#
# Les droits en écriture aux utilisateurs locaux
write_enable=YES
#
# On fixe le masque local a 022 (les fichiers remontés auront des droits en 755)
local_umask=022
#
# On interdit l’upload anonyme
anon_upload_enable=NO
#
# Idem pour la creation de repertoires
anon_mkdir_write_enable=NO
#
# On demande a ce que les actions des utilisateurs soient loggees
xferlog_enable=YES
#
# On verifie que la commande PORT provienne bien du port 20 de la machine cliente
connect_from_port_20=YES
#
# Les logs seront enregistres dans le fichier /var/log/vsftpd.log
xferlog_file=/var/log/vsftpd.log
#
# On declare les valeurs de timeout. Celles fournies par defaut sont ok pour notre utilisation
idle_session_timeout=300
data_connection_timeout=120
connect_timeout=60
accept_timeout=60
#
# Par securite, on interdit la commande ABOR
async_abor_enable=NO
#
# Les transferts en ASCII sont souvent source de confusions
ascii_upload_enable=NO
ascii_download_enable=NO
#
# Par securite, on change la banniere
ftpd_banner=Bienvenue sur le serveur Debian Addict
#
# On veut limiter les utilisateurs a leur répertoire d'origine
chroot_local_user=YES
chroot_list_enable=NO
#
# Les heures d’enregistrement des fichiers seront affichees a l’heure locale
use_localtime=YES Une fois le fichier de configuration remplacé, on relance le serveur FTP en tapant en root :
# /etc/init.d/vsftpd restart
A partir de ce moment, les utilisateurs ont accès à leurs répertoires
personnels via FTP et leurs actions sont enregistrées dans le fichier
/var/log/vsftpd.log. Il nous reste donc à créer un répertoire commun auquel chacun aura
accès. Pour cela, on crée un utilisateur lambda que l’on appellera
"commun" En root, tapez :
# adduser commun
Le système demande ensuite le mot de passe de l’utilisateur puis différents renseignements qui sont à passer.
Il faut placer les fichiers que vous voulez partager dans le
répertoire de l’utilisateur "commun". Cela peut être les photos des dernières vacances par exemple ou autres choses, mais il faut que cela fonctionne aussi avec n’importe quels
documents .Les fichiers partagés doivent être lisibles par n’importe quel utilisateur en lecture, il faut donc faire :
Il faut alors créer dans le répertoire personnel de chaque utilisateur
un répertoire "commun" et y attribuer les bons droits. Soit, si on prend
l’exemple de l’utilisateur tux :
Il faudra ensuite indiquer au système le lien entre /home/commun et
/home/tux/commun en rajoutant la ligne suivante dans le fichier
/etc/fstab :
/home/commun /home/tux/commun auto bind,defaults 0 0
Pour finir, on monte le répertoire /home/pingoo/commun en tapant :
mount /home/tux/commun
Le montage restera en place à chaque reboot. Il ne vous reste plus
qu’à communiquer l’adresse de votre serveur ainsi que les identifiants à
vos utilisateurs. Bien évidemment choisissez des mots de passe non
triviaux (y compris pour "commun").