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dimanche 9 juin 2013

Installer un serveur FTP sur debian: vsftpd


L'intérêt de ce tutoriel est qu'il me serve d'aide mémoire mais également de faire profiter des utilisateurs de Linux pour la mise en place d'un serveur FTP.

Voici en quelques points les principales caractéristiques du serveur que je vais mettre en place :


  • Chaque utilisateur se connectera avec un identifiant propre. Le système pourra ainsi logger les actions de chacun (en gros, savoir qui fait quoi) 
  • Chaque utilisateur disposera d’un espace où il puisse stocker ses fichiers de façon privée
  • chaque utilisateur accédera à un espace public
Loggez vous en root et tapez :

# apt-get install vsftpd

Une fois vsftpd installé, il faudra remplacer le fichier de configuration /etc/vsftpd.conf par le suivant :

# Nous voulons que le serveur fonctionne en mode standalone
listen=YES
#
# On ne veut surtout pas de connexions en mode anonymous
anonymous_enable=NO
#
# On veut que les utilisateurs locaux puissent se connecter
local_enable=YES
#
# Les droits en écriture aux utilisateurs locaux
write_enable=YES
#
# On fixe le masque local a 022 (les fichiers remontés auront des droits en 755)
local_umask=022
#
# On interdit l’upload anonyme
anon_upload_enable=NO
#
# Idem pour la creation de repertoires
anon_mkdir_write_enable=NO
#
# On demande a ce que les actions des utilisateurs soient loggees
xferlog_enable=YES
#
# On verifie que la commande PORT provienne bien du port 20 de la machine cliente
connect_from_port_20=YES
#
# Les logs seront enregistres dans le fichier /var/log/vsftpd.log
xferlog_file=/var/log/vsftpd.log
#
# On declare les valeurs de timeout. Celles fournies par defaut sont ok pour notre utilisation
idle_session_timeout=300
data_connection_timeout=120
connect_timeout=60
accept_timeout=60
#
# Par securite, on interdit la commande ABOR
async_abor_enable=NO
#
# Les transferts en ASCII sont souvent source de confusions
ascii_upload_enable=NO
ascii_download_enable=NO
#
# Par securite, on change la banniere
ftpd_banner=Bienvenue sur le serveur Debian Addict
#
# On veut limiter les utilisateurs a leur répertoire d'origine
chroot_local_user=YES
chroot_list_enable=NO
#
# Les heures d’enregistrement des fichiers seront affichees a l’heure locale
use_localtime=YES


Une fois le fichier de configuration remplacé, on relance le serveur FTP en tapant en root :

# /etc/init.d/vsftpd restart

A partir de ce moment, les utilisateurs ont accès à leurs répertoires personnels via FTP et leurs actions sont enregistrées dans le fichier /var/log/vsftpd.log.
Il nous reste donc à créer un répertoire commun auquel chacun aura accès. Pour cela, on crée un utilisateur lambda que l’on appellera "commun"  En root, tapez :

# adduser commun
Le système demande ensuite le mot de passe de l’utilisateur puis différents renseignements qui sont à passer.

Il faut placer les fichiers que vous voulez partager dans le répertoire de l’utilisateur "commun". Cela peut être les photos des dernières vacances par exemple  ou autres choses, mais il faut que cela fonctionne aussi avec n’importe quels documents .Les fichiers partagés doivent être lisibles par n’importe quel utilisateur en lecture, il faut donc faire :

# chmod -R 755 /home/commun
# chown commun:commun -R /home/commun

Il faut alors créer dans le répertoire personnel de chaque utilisateur un répertoire "commun" et y attribuer les bons droits. Soit, si on prend l’exemple de l’utilisateur tux :

 # mkdir /home/tux/commun
# chown tux:tux /home/tux/commun
# chmod 755 /home/tux/commun



Il faudra ensuite indiquer au système le lien entre /home/commun et /home/tux/commun en rajoutant la ligne suivante dans le fichier /etc/fstab :

/home/commun /home/tux/commun auto bind,defaults 0 0
Pour finir, on monte le répertoire /home/pingoo/commun en tapant :

mount /home/tux/commun
Le montage restera en place à chaque reboot. Il ne vous reste plus qu’à communiquer l’adresse de votre serveur ainsi que les identifiants à vos utilisateurs. Bien évidemment choisissez des mots de passe non triviaux (y compris pour "commun").

Source:Debian Addic
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lundi 28 janvier 2013

Installation de CentOS 6.3


Ce post vous guidera une installation étape par étape du système d'exploitation communautaire entreprise 6.3 (CentOS) avec des screenshots. Moins de trois semaines après la sortie de Red Hat Enterprise Linux (RHEL) 6.3 . Le projet CentOS a publié son clone de RHEL 6.3 répartition le 09 Juillet 2012

CentOS 6.3 Caractéristiques

CentOS Linux distribution contient quelques nouvelles fonctionnalités intéressantes comme.

  1. OpenOffice 3.2 a été remplacé par LibreOffice 3.4, si vous mettez à jour depuis la version précédente de CentOS 6 en utilisant "yum update» et ont openoffice installé, la mise à jour supprime automatiquement et installer openoffice libreoffice.
  2. De nombreux pilotes ont été mis à jour et amélioré en virtulisation.
  3. Amont a désapprouvé l'API Matahari pour la gestion du système d'exploitation a été désapprouvée, et il ya de nouveaux outils pour déplacer des machines physiques et virtuelles dans Virtual KVM instances de machines. Ces nouveaux outils de Red Hat sont virt-P2V et V2V pour virt-migration physique vers virtuel et virtuel-virtuel, respectivement. 

  4. Télécharger CentOS 6.3 DVD ISO

    1. Télécharger CentOS 6.3 32 bits Lecteur de DVD ISO - (3,6 Go)
    2. Télécharger CentOS 6.3 64 bits Lecteur de DVD ISO - (4,0 Go)
    3. Télécharger la fois 32-bit et 64-bit DVD ISO.
     
  5. CentOS 6.3 Étape par étape
    Guide d'installation graphique

    Démarrez l'ordinateur avec CentOS 6.3 Installation OS CD / DVD.

    1. Sélectionnez Installer ou mettre à niveau les options du système existant.


  6. Sélectionnez Installer ou mettre à niveau
    Sélectionnez Installer ou mettre à niveau

    2. Choisissez sauter essai médias car cela peut prendre beaucoup de temps pour vérifier médias.
    Passer CentOS 6.3 Essai des médias
    Passer CentOS 6.3 Essai des médias 
    3. CentOS 6.3 Ecran Bienvenue sur Suivant.
    CentOS 6.3 Ecran Bienvenue
    CentOS 6.3 Ecran Bienvenue
    Sélection de la langue. 4.
    Sélection CentOS 6.3 Langue
    Sélection CentOS 6.3 Langue
    5. Sélectionnez clavier approprié.
    Sélection CentOS 6.3 Clavier
    Sélection CentOS 6.3 Clavier
    6. Sélectionnez Périphérique de stockage de base si votre disque dur est installée en local.
    CentOS 6.3 Sélection périphérique de stockage


    7. Vous pouvez obtenir avertissement périphérique de stockage, vous pouvez cliquer sur Oui, jeter sur n'importe quelle touche pour continuer données.
    CentOS 6.3 Avertissement périphérique de stockage
    CentOS 6.3 Avertissement périphérique de stockage
    8. Donnez un nom d'hôte pour le serveur et cliquez sur le bouton Configure Network si vous souhaitez configurer le réseau lors de l'installation.
    CentOS 6.3 Configuration d'hôte et de réseau
    CentOS 6.3 Configuration d'hôte et de réseau
    9. Cliquez sur l'onglet filaire et cliquez sur le bouton Ajouter.
    Configuration réseau CentOS 6.3
    Configuration réseau CentOS 6.3
    10. Sélectionnez Se connecter automatiquement, allez à l'onglet Paramètres IPv4 et sélectionnez Méthode et sélectionnez Manuel dans la liste déroulante. Cliquez sur l'onglet Ajouter à remplir la barre d'adresse avec l'adresse IP, le masque de réseau, la passerelle et le serveur DNS. Ici, je suis en utilisant l'adresse IP 192.168.1.6 et DNS Server est 4.2.2.2 pour la démo. Cette adresse IP peut varier selon votre environnement.
    Configuration réseau CentOS 6.3
    Configuration réseau CentOS 6.3
    11. Sélectionnez le fuseau horaire.
    Fuseau horaire CentOS 6.3 Set
    Fuseau horaire CentOS 6.3 Set
    12. Offrir un mot de passe root.
    Mot de passe root CentOS 6.3
    Mot de passe root CentOS 6.3
    13. Sélectionnez partitionneur approprié selon votre condition.
    Sélection CentOS 6.3 Partition
    Sélection CentOS 6.3 Partition
    14. Vérifiez le système de fichiers. Ici, vous pouvez modifier le système de fichiers Si vous voulez.
    CentOS 6.3 Vérifier partition
    CentOS 6.3 Vérifier partition
    15. Avertissement de formatage du disque, cliquez sur Format.
    Format Disk CentOS 6.3
    Format Disk CentOS 6.3
    16. Sélectionnez Écrire les modifications sur le disque.
    Les changements CentOS 6.3 disque
    Les changements CentOS 6.3 disque
    17. Le formatage du disque dur est.
    Formatage disque CentOS 6.3
    Formatage disque CentOS 6.3
    18. Ici, vous pouvez donner Mot de passe du chargeur d'amorçage pour une meilleure sécurité.
    CentOS 6.3 Mot de passe du chargeur de démarrage
    CentOS 6.3 Mot de passe du chargeur de démarrage
    19. Sélectionnez les applications que vous souhaitez installer, vous pouvez choisir Personnaliser maintenant et cliquez sur Suivant.
    Sélection CentOS Forfait 6,3
    Sélection CentOS Forfait 6,3
    20. Sélectionnez les applications que vous souhaitez installer et cliquez sur Suivant.
    CentOS 6.3 Sélection Forfaits
    CentOS 6.3 Sélection Forfaits
    21. Installation commencé, cela peut prendre plusieurs minutes que la sélection par des paquets.
    CentOS 6.3 Installation
    CentOS 6.3 Installation
    22. Installation terminée, S'il vous plaît supprimer CD / DVD et le redémarrage du système.
    CentOS 6.3 Installation Complète
    CentOS 6.3 Installation Complète
    23. Bienvenue à écran CentOS Connexion 6.3.
    CentOS 6.3 Connexion de l'écran
    CentOS 6.3 Connexion de l'écran
    24. CentOS écran de bureau 6.3.
    CentOS 6.3 Ecran de bureau
    CentOS 6.3 Ecran de bureau
    J'ai bien aimé cet article? Le partage est la meilleure façon de vous dire merci!
     
     

 source:
Ecrit par dans: CentOS , Linux Distros

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dimanche 6 janvier 2013

Pilote non libre "fglrx" (ATI)


Installer fglrx depuis les dépôts Debian

Au préalable vous exécuterez cette commande dans votre terminal pour déterminer quelle carte vidéo
que vous utilisez:

lspci -v | grep VGA

Il s'agit de la méthode conseillée, elle nécessite d'avoir dans votre fichier “sources.list” les dépôts “non-free”, par exemple pour la distribution “testing”.  Vous faite dans votre terminal la commande suivante:
 # nano /etc/apt/sources.list 

 puis: Vous ajoutez ces dépôts:

deb http://ftp.fr.debian.org/debian/ testing main contrib non-free
deb-src http://ftp.fr.debian.org/debian/ testing main contrib non-free
Pour plus d'information sur le fichier “sources.list” consultez la page "Gestions des paquets Debian".

Ensuite il faut installer les paquets nécessaires, à savoir :

  • fglrx-source (nécessaire à la compilation du module noyau)
  • fglrx-atieventsd
  • fglrx-glx
  • fglrx-driver
  • fglrx-glx-ia32 (optionnel, uniquement sur architecture amd64 pour des programmes 32bits)
  • fglrx-control (le panneau de control)
  • module-assistant
  • build-essential (peut être installé automatiquement par “module-assistant”)
  • linux-headers-$(uname -r) (peut être installer automatiquement par “module-assistant”, inutile si vous possédez les sources du noyau courant)
En version courte cela donne :


# aptitude update
# aptitude install fglrx-source fglrx-driver fglrx-glx fglrx-control fglrx-atieventsd
 module-assistant build-essential linux-headers-$(uname -r)
# module-assistant a-i fglrx
# aticonfig --inital
 
Vous pouvez moduler la liste des paquets installés, par exemple en ajoutant les paquets de compatibilité 32bit (sur amd64), ou en installant que le strict nécessaire dans un premier temps (fglrx-source, fglrx-driver, module-assistant).
La commande “module-assistant” (peut être abrégé en “m-a”) utilise l'option “a-i” pour “auto-install”. Cela revient à faire exécuter à “module-assistant” une série d'étape (update, prepare, [get], build, install) qui aboutiront si tout va bien à la compilation, l'installation et le chargement du module noyau fglrx.
Un paquet “fglrx-kernel-$(uname -r).deb” sera créé dans /usr/src, utile en cas de réinstallation (utilisez “dpkg -i” pour le réinstaller). Pendant la phase “prepare” “module-assistant” doit normalement installer un environnement de compilation (dont les “headers” du noyau, “build-essential”…), mais ça ne pose pas de problème d'installer ces paquets manuellement auparavant.
“aticonfig” sert à initialiser le fichier “xorg.conf”, si vous préférez ne pas laisser l'outil de configuration “aticonfig” modifier votre xorg.conf, vous pouvez omettre cette étape et effectuer les modifications nécessaires à la main. Cela consiste à modifier (ou créer) la section “Device” :

Section "Device" Driver "fglrx" EndSection Le redémarrage ne devrait pas être strictement nécessaire, dans la plupart des cas vous pouvez passer en console (touches [ctrl][alt][F1]), stopper le serveur graphique avec, respectivement pour KDE et Gnome (l'un OU l'autre) :

# /etc/init.d/kdm restart
# /etc/init.d/gdm restart
 
Parfois cela échoue, et le redémarrage s'impose.

Pour vérifier que tout fonctionne, vous pouvez faire en console :

$ fglrxinfo La commande devrait vous renvoyer des informations sur la version du pilote, et votre matériel. Autre vérification qui nécessite l'installation du paquet “mesa-utils” :

$ glxinfo | egrep '(rendering|OpenGL)' Ça devrait renvoyer “direct rendering = yes”, et “ATI” comme fournisseur de OpenGL.

Quelques mots sur “module-assistant”, il peut s'utiliser avec une interface graphique type “ncurses” en console. Si vous préférez cette méthode il suffit de taper “module-assistant” ou “m-a” dans une console avec des droits root, et de suivre les étapes proposées par l'interface.

Étapes de préparation, indispensables lors de la première utilisation :


Choix du module à compiler ([espace] pour sélectionner) :

Lancer la compilation du module :
 Installer le paquet ”.deb” créé :




Si l'une de ces étapes échoue, vérifier votre environnement de compilation (sources (configurées) et/ou “headers” du noyau, liens symboliques correctes dans ”/lib/modules/$(uname -r)”, etc…).

:!: Lors d'une mise à jour de version de noyau, ou du pilote “fglrx”, vous devrez recompiler un module. Dans la pratique il suffit de procéder à la mise à jour des paquets :

  • Le noyau si c'est lui qui est mis à jour, puis redémarrage sur ce nouveau noyau avant de recompiler et installer un module avec “module-assistant”.
  • Les paquets “fglrx-*” si c'est le pilote qui est mis à jour (y compris “fglrx-source”)
Dans les deux cas, effacez le paquet “fglrx-kernel-$(uname -r).deb” (à moins qu'il ne soit appelé à resservir) qui se trouve dans le répertoire /usr/src (avec “rm”, attention à ne pas se tromper de cible !), et utilisez “module-assistant” pour compiler un nouveau module et l'installer. Ne désinstallez pas le paquet du module précédent, vous le ferez une fois le nouveau module créé et installé par module-assistant, et de cette manière vous gardez une porte de sortie en cas de problème… Un redémarrage (du serveur graphique ou du système) plus tard et ça devrait rouler.

Méthode manuelle avec l'installateur ATi

Si pour une raison quelconque vous préférez utiliser l'installateur fourni par ATi, vous devrez le télécharger à partir du site AMD/ATi. Une fois le fichier “ati-driver-installer-$version.run” téléchargé, lancez en console :

# sh ati-driver-installer-9-9-x86.x86_64.run --listpkg

Created directory fglrx-install.syJfuQ                                                
Verifying archive integrity... All good.                                              
Uncompressing ATI Proprietary Linux Driver-8.65..........................................................
==================================================                                                                         
 ATI Technologies Linux Driver Installer/Packager                                                                          
==================================================                                                                         
List of generatable packages:                                                                                              

Package Maintainer(s): Aric Cyr 
                      Mario Limonciello 
Status: *UNVERIFIED*                                       
Debian Packages:                                           
        Debian/sid                                         
        Debian/unstable                                    
        Debian/etch                                        
        Debian/stable                                      
        Debian/lenny                                       
        Debian/testing                                     
        Debian/experimental                                      

[...liste trop longue...]

Status: *UNVERIFIED*
Ubuntu Packages:
        Ubuntu/7.10
        Ubuntu/8.04
        Ubuntu/8.10
        Ubuntu/9.04
        Ubuntu/gutsy
        Ubuntu/hardy
        Ubuntu/intrepid
        Ubuntu/jaunty
        Ubuntu/karmic
        Ubuntu/source

For example, to build a Debian Etch package, run the following:
% ./ati-driver-installer--.run --buildpkg Debian/etch
La version de l'installateur sera sans doute différente pour vous, à adapter. À partir de là il ne vous reste qu'à repérer le nom de votre distribution, par exemple “Debian/testing” et de lancer la création des paquets avec :

# sh ati-driver-installer-9-9-x86.x86_64.run --buildpkg Debian/testing
Si tout se passe bien vous trouverez plusieurs paquets ”.deb” dans le répertoire courant, il vous restera à les installer avec :

# dpkg -i *.deb
À lancer dans le répertoire où se trouvent les paquets créés par l'installateur ATi, et ne laissez pas traîner d'autres paquets ”.deb” dans le même répertoire, sinon ils seront (ré)installés également avec cette commande ! Si “dpkg” vous renvoie une erreur de dépendance entre les paquets, lisez le message d'erreur pour connaître l'ordre d'installation. Par exemple si l'erreur est “paquet “A” dépend de paquet “B” mais celui-ci n'est pas installé”, installez le paquet “B” et recommencez.

Quand tout ça est terminé, il reste à initialiser le fichier /etc/X11/xorg.conf avec :

# aticonfig --initial
et redémarrer (le serveur graphique uniquement, ou carrément le système, selon les goûts…).

À noter que l'installateur dispose d'une option d'auto-installation, elle fonctionne parfois, quand ça n'est pas le cas elle peut mettre un joyeux bazar dans votre système… Je ne la conseillerai pas ici.

:!: À chaque mise à jour du noyau, ou des pilotes bien entendu, la procédure est à reprendre… Soyez certains de bien désinstaller la version précédentes.

Les désavantages du non-libre

Le pilote “fglrx” n'est pas libre, ses sources ne sont pas disponibles et les développeurs de Debian ne peuvent rien aux problèmes qui seraient créés par ce pilote… Pas la peine de se plaindre auprès d'eux donc si ça part en cacahouète. Tout au plus pouvez-vous espérer de l'aide sur la procédure d'installation si vous employez la méthode “Debian” (par les dépôts).
Une fois le module installé votre noyau sera marqué “tainted” (“teinté” ou “pollué”), en cas de crash du système cela risquera de compromettre le diagnostique.
Le pilote “fglrx” est notoirement insatisfaisant, il est très souvent en retard sur les versions du noyau, refuse de compiler avec des versions récentes, fonctionne mal avec les effets de bureau “composite” et ne dispose pas d'une accélération video performante… Bref, de bonnes raisons de suivre et de tester régulièrement les pilotes libres, et de soutenir leur développement.
Amusez-vous bien !

Lien

Pilotes libres “ati”/“radeon” :

Source:linuxpedia.fr





 

 

dimanche 30 décembre 2012

Contactez-moi

Formulaire de contact

mercredi 19 décembre 2012

Tutoriel



Je ne vais pas créer un tutoriel ni un cours sur Linux alors qu'il en existe déjà sur la toile. D'autre part c'est un exercice compliqué, et je laisse le soin à des personnes plus compétentes cet exercice. Cependant voici ci-dessous quelques liens très intéressant qui sera utile aux novices comme au plus érudits.



 Tuto en PDF

 Tutovideo 


  • Tutoriel Xubuntu
    Dans ce tutoriel nous allons utiliser Xubuntu en alternate CD dans le but de recycler un vieux PC (un ordinateur avec un vieux windows 98 avec 192 de ram et un processeur a 1Ghz par exemple). Grâce à ce tutoriel vous aurez un ordinateur fonctionnelle merci à zone tuto pour cette vidéo


Je m’intéresse aujourd’hui à la console sur Ubuntu. Au départ je voulais faire une seule vidéo et donner des bases à l’utilisation de la console sous Ubuntu 














Linux Mint 12, pilotes ATI et Cinnamon




Avec Gnome 3 de nombreux utilisateurs (dont moi) rencontraient des problèmes d’affichage s’ils étaient équipés d’une carte graphique ATI dès l’installation des pilotes propriétaires.., Je suis passé d’Ubuntu à Linux Mint pour pouvoir utiliser Cinnamon et j’ai bien sur rencontré le même problème. Alors si vous aussi vous aimez Linux Mint et que vous avez des problèmes avec votre carte ATI lisez la suite…
Après l’installation de Linux Mint 12 vous pouvez installer les pilotes propriétaires d’ATI, ceux ci ne fonctionneront pas et provoqueront des problèmes d’affichages assez agaçants. Le tuto qui va suivre à pour but de résoudre ces problèmes et de voir comment revenir à une interface plus « Gnome classique » avec Linux Mint 12. La première étape c’est l’installation des tous derniers pilotes propriétaires d’ATI (en date du 25/01 c’est dire si c’est frais!). Pour info, j’ai remarqué sur mon installation que si j’avais installé d’abord les pilotes propriétaires non fonctionnels les problèmes étaient plus vite résolus en suivant la marche à suivre ci dessous.
On va d’abord installer quelques composants pré requis pour l’installation du pilote:
sudo aptitude update
sudo apt-get install build-essential cdbs fakeroot dh-make debhelper debconf libstdc++6 dkms libqtgui4 wget execstack libelfg0 dh-modaliases

Ceci fait on récupère l’archive ici ou avec wget:
mkdir ati_drivers
cd ati_drivers
wget http://www2.ati.com/drivers/linux/amd-driver-installer-12-1-x86.x86_64.run

Important: rendre le script exécutable avec:
chmod +x amd-driver-installer-12-1-x86.x86_64.run
Le script va nous permettre de générer des paquets compatibles avec notre installation (Linux Mint 12 ou Ubuntu 11.10)
sudo sh ./amd-driver-installer-12-1-x86.x86_64.run --buildpkg Ubuntu/oneiric
Et on va installer ces paquets:
sudo dpkg -i fglrx*.deb
J’ai ensuite généré un fichier de configuration de X.org permettant l’utilisation de deux écran en mode bureau étendu:
sudo aticonfig --initial -f
sudo aticonfig --set-pcs-str="DDX,EnableRandR12,FALSE"

Redémarrez ensuite votre machine et le résultat devrait être vérifiable assez facilement !
La deuxième consiste pour les déçus de Gnome Shell et Gnome 3 comme moi à installer Cinnamon, un fork de Gnome 3 par l’équipe de Linux Mint 12:
Il suffit d’installer le paquet cinnamon-session avec:
aptitude install cinnamon-session

lundi 17 décembre 2012

Introduction à Linux



Historique de Linux

Linus B.Torvalds est à l'origine de ce système d'exploitation entièrement libre. Au début des années 90, il voulait mettre au point son propre système d'exploitation pour son projet de fin d'étude. Linus Torvalds avait pour intention de développer une version d'UNIX pouvant être utilisé sur une architecture de type 80386. Le premier clone d'UNIX fonctionnant sur PC a été Minix, écrit par Andrew Tanenbaum, un système d'exploitation minimal pouvant être utilisé sur PC. Linus Torvalds décida donc d'étendre les possibilités de Minix, en créant ce qui allait devenir Linux. Amusées par cette initiative, de nombreuses personnes ont contribué à aider Linus Torvalds à réaliser ce système, si bien qu'en 1991 une première version du système a vu le jour. C'est en mars 1992 qu'a été diffusée la première version ne comportant quasiment aucun bug.
Avec le nombre croissant de développeurs travaillant sur ce système, celui-ci a rapidement pu intégrer des redéveloppements libres des outils présents sous les systèmes UNIX commerciaux. De nouveaux outils pour Linux apparaissent désormais à une vitesse vertigineuse.
L'originalité de ce système réside dans le fait que Linux n'a pas été développé dans un but commercial. En effet aucune ligne de code n'a été copiée des systèmes UNIX originaux (en effet Linux s'inspire de nombreuses versions d'UNIX commerciales: BSD UNIX, System V.). Ainsi, tout le monde, depuis sa création, est libre de l'utiliser mais aussi de l'améliorer.
Je vous invite à vous balader un peu sur notre Blog et sur ceux d’autres associations ou groupements comme Linux-France ou linux-fr. Vous y trouvrez toutes les réponses.

On peut également trouver des solutions bureautiques et graphique comme Open Office ou Word Perfect- largement aussi bonnes que Microsoft Office - ou encore GIMP - comparable à son cousin Photoshop - Firefox un navigateur incontournable qui fait peur à bilou et tout cela, en étant 100 % gratuit (ou presque).
Nom de code : Linux