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mercredi 20 janvier 2010

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Pourquoi nos Ecoles devraient utiliser exclusivement des logiciels libres
décembre 29, 2009 par daklinu1

Il existe des raisons très générales pour lesquelles tout utilisateur d'ordinateur devrait se focaliser sur les logiciels libres. Ils donnent la possibilité de contrôler notre propre ordinateur, alors qu'avec les logiciels commerciaux l'ordinateur obéit au propriétaire du logiciel — l'éditeur — et non plus au propriétaire de l'ordinateur lui-même. Avec les logiciels libres, les utilisateurs ont la liberté de coopérer, de mieux diriger leur vie. Cela s'applique aux écoles comme à tout le monde.

Mais il existe des raisons spécifiques qui concernent les écoles. Elles sont le sujet de cet article.

D'abord, les logiciels libres permettent aux écoles d'économiser de l'argent. Même dans les pays riches, les écoles ont un budget très serré. Les logiciels libres donnent aux écoles, comme aux autres utilisateurs, la liberté de copier et de redistribuer les logiciels, si bien que l'Éducation nationale (ou tout système éducatif) peut faire des copies pour tous les ordinateurs de toutes les écoles. Dans les pays pauvres, cela peut aider à réduire la « fracture numérique ».

Cet argument économique évident, quoi qu'important, n'a qu'une portée assez marginale. En effet les développeurs de logiciels propriétaires peuvent éliminer cet inconvénient en donnant des copies aux écoles. Mais attention : une école qui accepte ce « cadeau » risque de devoir payer les futures mises à jour. Approfondissons donc la question.

L'École devrait enseigner aux élèves des comportements qui profiteront à la société toute entière. Elle devrait promouvoir l'utilisation des logiciels libres tout comme elle promeut le recyclage. Si l'École enseigne les logiciels libres aux élèves (et aux étudiants), ceux-ci les utiliseront encore après la fin de leurs études. Cela pourra aider la société toute entière à échapper à la domination (et à la lamination) par les multinationales. Ces entreprises offrent des versions gratuites de logiciels aux écoles pour la même raison que des compagnies de tabac américaines distribuent des cigarettes gratuites : pour rendre les enfants dépendants (1). Ils ne feront pas de remises à ces élèves et étudiants après leurs études une fois qu'ils auront grandi.

Les logiciels libres permettent aux élèves et aux étudiants d'apprendre comment les logiciels fonctionnent. À l'adolescence, certains d'entre eux veulent tout apprendre au sujet de leur ordinateur et de ses logiciels. C'est à cet âge que les personnes qui deviendront de bons programmeurs devraient l'apprendre. Pour bien apprendre à écrire des logiciels, les élèves et les étudiants ont besoin de lire beaucoup de code source et d'écrire beaucoup de logiciels. Ils ont besoin de lire et de comprendre de vrais programmes que les gens utilisent réellement. Ils seront extrêmement curieux de lire le code source des programmes qu'ils utilisent.

Le logiciel propriétaire rejette cette soif de connaissance ; il dit « le savoir que tu veux est un secret, l'apprendre est interdit ! » Le logiciel libre encourage tout le monde à apprendre. La communauté du logiciel libre rejette ce « culte de la technologie », qui maintient le grand public dans l'ignorance du fonctionnement de la technologie ; nous encourageons les élèves et les étudiants de tous âges et de toutes origines à lire du code source et à apprendre autant qu'ils veulent savoir. Les écoles qui utilisent les logiciels libres encouragent cela et permettent aux apprentis programmeurs doués de progresser.

La raison suivante est encore plus profonde. Nous attendons de l'École qu'elle enseigne aux élèves et étudiants des connaissances de base et des compétences utiles, mais ce n'est pas son unique mission. La mission la plus fondamentale de l'École est d'enseigner aux gens à être de bons citoyens et de bons voisins pour œuvrer avec ceux qui ont besoin d'aide. Dans le domaine de l'informatique, cela signifie enseigner à partager les logiciels. Les écoles élémentaires, par dessus tout, devraient dire à leurs élèves : « si tu apportes un logiciel à l'école, tu devras le partager avec les autres enfants ». Bien entendu, l'école doit pratiquer ce qu'elle prêche : tous les logiciels installés par l'école devront être accessibles aux élèves pour être copiés, emportés à la maison et redistribués par la suite.

Enseigner l'utilisation des logiciels libres aux élèves et étudiants et prendre part à la communauté des logiciels libres est une forme d'éducation à la citoyenneté. Cela démontre aussi aux étudiants les avantages d'un modèle basé sur le service public plutôt que celui prôné par les ultralibéraux. Les logiciels libres devraient être utilisés à tous les niveaux de l'École.



Quels sont les trucs les plus sympa qu'on peut faire avec Linux mais pas avec Windows ou un Mac
janvier 3, 2010 par daklinu1

C'est une question qu'on m'a posée récemment. Comme je n'ai pas qu'une seule réponse, j'ai dressé une liste des trucs auxquels j'ai pensé puis je me suis dit que cela peut servir de référence pour les débutants en Linux:

1. Mettre à jour légalement et sans avoir à payer.

2. Obtenir les dernières versions du système d'exploitation qui fonctionnent plus rapidement sans toucher au matériel.

3. Installer et exécuter facilement différentes interfaces graphiques si je n'aime pas la configuration par défaut.

4. Installer une vingtaine de programmes par une simple commande.

5. Avoir un système qui met à jour automatiquement les programmes déjà installés.

6. Installer la même copie de mon OS (Ubuntu) sur plusieurs machines sans me soucier des restrictions de licences ou de clés d'activation.

7. Distribuer des copies de mon système d'exploitation et des programmes qui tournent dessus sans violer aucune loi, gouvernementale, éthique ou morale, parce que tout a été prévu dans ce sens.

8. Avoir le contrôle total du matériel installé sur ma machine et savoir qu'il n'y a pas de porte dérobée dans mes logiciels, installés là par des éditeurs peu scrupuleux ou par le gouvernement.

9. Fonctionner sans utiliser d'anti-virus, de protection anti-adware ou spyware, ne pas avoir à redémarrer ma machine pendant des mois tout en recevant toujours les derniers correctifs de sécurité.

10. Fonctionner sans avoir à défragmenter mon disque dur, jamais !

11. Essayer des logiciels, décider qu'ils ne me plaisent pas, les désinstaller et savoir qu'ils ne laissent pas derrière eux des traces dans la base de registre, s'y accumuler et ralentir ma machine.

12. Pouvoir faire une énorme erreur qui nécessite la réinstallation complète de mon système et être capable de le faire en moins d'une heure, parce que j'ai mis toutes mes données sur une partiton séparée du système d'exploitation et des programmes.

13. Pouvoir démarrer mon système avec de supers effets, aussi sympa que ceux de Vista, sur une machine qui a 3 ans... en moins de 40 secondes, temps d'identification compris (nom d'utilisateur + mot de passe).

14. Etre capable de configurer tout ce que je veux, légalement, y compris mes programmes fétiches. Je peux même contacter les développeurs du logiciel concerné pour leur poser des questions, leur donner des idées et être impliqué dans la construction ou le développement de la version en cours si j'en ai envie.

15. Avoir plus de 4 fenêtres de traitements de texte ouvertes, écouter de la musique, jouer avec les effets graphiques du bureau, être en contact avec une large communauté sympathique et avoir Firefox, ma messagerie instantanée et mon client de courrier électronique ouverts en même temps sans que le système se mette à tourner si lentement qu'il en deviendrait inutilisable.

16. Utiliser la commande dpkg --get-selections > pkg.list pour obtenir la liste exhaustive et détaillée de tous les logiciels que j'ai installés, faire une sauvegarde de mes répertoires /etc et /home sur une autre partition et ainsi être capable de restaurer mon système à tout moment, facilement.

17. Faire tourner plusieurs bureaux en même temps, voire autoriser plusieurs utilisateurs à se connecter et à utiliser la machine en même temps.

18. Redimensionner une partition du disque dur sans avoir à la détruire et perdre les données qu'elle contient.

19. Pouvoir utiliser le même matériel pendant plus de 5 ans avant qu'il n'ait réellement besoin d'être remplacé... J'ai toujours du matériel qui a presque 10 ans, qui tourne sous Linux et qui est toujours utile.

20. Pouvoir surfer sur internet pendant que l'OS s'installe !

21. Utiliser à peu près n'importe quel matériel en sachant que le pilote est déjà présent dans le système d'exploitation... éliminant ainsi la nécessité de rechercher le site du fabriquant pour trouver ce pilote.

22. Obtenir le code source de pratiquement n'importe quoi, y compris celle du noyau du système d'exploitation ou celle de la plupart de mes applications. Je pourrais encore en rajouter, mais je pense que c'est déjà pas mal !

C'est quoi Windows Genuine Authentication
janvier 3, 2010 par daklinu1

1- Windows Genuine Authentication (WGA):

La nouvelle version du système WGA de l’éditeur contient un dispositif de pop-up intrusif. Impossibles à supprimer, ils s’affichent à l’écran de l’utilisateur pour lui signifier que sa copie de Windows est une contrefaçon.

Microsoft étend à de nouveaux pays l'activation de son outil de contrôle "Windows Genuine Advantage Notifications", qui authentifie à distance son OS Windows. Il s'agit en fait d'une deuxième version renforcée du dispositif antipiratage WGA (Windows Genuine Advantage).

Le principe est inchangé: l'utilisateur qui souhaite authentifier sa version de Windows se connecte sur le site de Microsoft. Si sa licence est validée, il disposera d'un accès privilégié à des mises à jour système et des utilitaires, ainsi que des services d'assistance (conseiller en ligne), de fiches et des vidéos d'autoformation. Les patchs de sécurité ne sont pas concernés.

À l'inverse, pour le cas où la version du logiciel n'est pas authentifiée, Microsoft a intégré dans le système des mesures coercitives pour forcer l'utilisateur à acquérir une licence. Elles se concrétisent par des "notifications", en fait des pop-up, qui s'affichent à l'écran lors de l'utilisation de Windows. Leur contenu rappelle que la copie de l'OS n'est pas une version originale, et fournit des liens internet pour procéder à l'acquisition de la licence.

Machine arrière impossible

En outre, le logiciel affichant ces notifications ne peut pas être désinstallé, indique Microsoft. Au mieux l'utilisateur peut temporairement les désactiver, en répondant qu'il s'authentifiera plus tard (Resolve Later). Mais une petite bannière à l'écran continuera d'afficher en permanence le message (en anglais): «Cette copie de Windows n'est pas originale. Vous devez être victime d'une contrefaçon de logiciel». Et à chaque redémarrage de Windows, les pop-up reviendront.

Ce système a été testé dès novembre 2005 en Norvège et en Suède, avant d'être proposé dans cinq autres pays en février dernier. Aujourd'hui, Microsoft l'étend aux États-Unis, Royaume-Uni, Malaisie, Australie et à la Nouvelle-Zélande. La France n'est pas encore concernée; la précédente version de WGA avait été testée en janvier 2005 en Norvège avant d'entrer en vigueur dans l'Hexagone six mois plus tard.

Parallèlement, l'éditeur a décidé de décliner son dispositif pour sa suite bureautique Office. Suivant le même concept, elle peut donc être identifiée à distance via le programme Office Genuine Advantage (OGA), qui donne accès aux services en ligne et mises à jour. Il est pour l'instant lancé en sept langues (portugais, tchèque, grecque, coréen, chinois, russe et espagnol).

En France, il est posssible d'authentifier Office sur le site de Microsoft (service en anglais). Mais il ne s'agit pas du dispositif OGA complet; ainsi la validation de la licence ne donne pas un accès privilégié à des mises à jour d'Office.

En 2010, Microsoft étendra WGA à tous les pays car le manque à gagner est de plus en plus colossal.

Les avantanges UBUNTU:
C'est une distribution stable, car basée sur une autre distribution très aboutie, la Debian.

lundi 18 janvier 2010

Installer Mandriva Linux 2010 pas à pas

Insérer le CD ou le DVD dans votre lecteur. Redémarrez votre ordinateur. Si le BIOS est configuré pour booter en premier sur le lecteur de CD/DVD - c'est généralement le cas -, vous devriez voir apparaitre l'écran d'accueil suivant :



Cliquez sur « Install Mandriva Linux 2010 ». Un nouvel écran s'affiche et vous propose de choisir la langue dans laquelle vous voulez installer Mandriva. Choisissez « Français », ou toute autre langue dont vous êtes familier.



En cliquant sur « Multi languages », vous avez la possibilité de sélectionner plusieurs langues dans lequelles vous pourrez utiliser votre système. Vous pourrez également configurer cela plus tard. Cliquez ensuite sur « Next ». Une fenêtre « Licence » apparait.



Après avoir lu cet avertissement qui traite principalement de la responsabilité de Mandriva, des limitations de logiciels prohibés dans certains pays, des licences de logiciels libres et des brevets logiciels, cochez « Accepter » et cliquez sur « Suivant ».



Choisissez maintenant votre disposition de clavier puis cliquez sur « Suivant ».

Partionnement


    1. Bases du partionnement


    2. Nous voici maintenant à l'étape la plus délicate et la plus importante : le partitionnement. Cela consiste à dire à Mandriva où et comment elle doit s'installer.

      Sachez qu'il faut disposer d'au moins 10 Go de libre sur votre disque dur pour pouvoir utiliser Mandriva normalement. Si vous voulez utiliser sur votre ordinateur à la fois Microsoft Windows et Mandriva, il est nécessaire d'installer Microsoft Windows en premier.



      L'outil de partionnement, RPMDrake, vous propose différents choix suivant ce qui est détecté sur votre ordinateur. Il existe 5 modes de partitionnement :

    3. Utiliser l'espace disponible : votre ordinateur dispose d'espace vide, sur lequel Mandriva propose de s'installer.


    4. Effacer et utiliser le disque tout entier : tout sera effacé, et Mandriva s'installera sur tout le disque.


    5. Utiliser les partitions existantes : votre ordinateur a déjà des partitions Linux de créées, sur lesquelles Mandriva propose de s'installer.


    6. Utiliser l'espace libre sur la partition Windows : la partition sur laquelle est déjà installé Microsoft Windows (ou une partition FAT32 ou NTFS) sera réduite, et Mandriva s'installera sur l'espace ainsi libéré. Cette option est à utiliser dans le cas où on veut à la fois Windows et Mandriva sur son ordinateur.


    7. Partitionnement de disque personnalisé : Mandriva s'installera où et comme on lui dira. C'est l'option que nous allons choisir. C'est également l'option à choisir si on avait un système d'exploitation déjà présent sur notre ordinateur et que l'on veut le remplacer par Mandriva.


    8. Si vous êtes pressés, et que vous n'avez pas de système que vous voulez écraser, choisissez une des deux premières options, et passez au chapitre « Installation du système » de cette documentation.

      Sachez que par défaut, Mandriva créé trois partitions :

    9. une partition racine, appelée /, qui va contenir le système. Par défaut, elle de type ext3.


    10. une partition swap, qui va permettre de donner plus de mémoire vive à votre système en cas de manque de RAM. Elle fait en général une à deux fois la taille de la mémoire RAM.


    11. une partition home, qui va contenir les données et certains fichiers de configuration des utilisateurs. Par défaut, elle de type ext3.

Partionnement personnalisé





Pour créer une partition, il suffit de cliquer sur une partition existante ou de l'espace vide (en blanc), puis de cliquer sur « Créer » ou sur le type de partition (en couleur). Chaque partition est représentée par les caractéristiques suivantes :

  • son nom suivant la typologie habituelle Linux : des lettres correspondants à la famille de disques durs (« hd » pour les disques Parallel ATA ou IDE, « sd » pour les disques SATA), puis des numéros de partition. Mandriva s'occupe de définir ce nom pour vous.

  • la taille de la partition

  • le point de montage : là où votre disque sera accessible.
  • le type de partition (ext3, ReiserFS etc.).




  • Voici un exemple de partitionnement classique :



  • une partition swap, de la taille de notre RAM (Mandriva s'occupe du point de montage et du type).


  • une partition de 6 Go minimum, montée dans /, de type « ext4 », qui va contenir le système.


  • une partition de quelques gigaoctets, montée dans /home, de type « ext4 », qui va contenir les données et certains fichiers de configuration des utilisateurs.


  • une partition de quelques gigaoctets, montée dans /tmp, de même type que le système, qui va contenir les fichiers temporaires du système : cela a l'avantage que si cette partition est pleine, votre partition système - et donc votre système - n'en sera pas affectée.


  • si vous voulez utiliser votre ordinateur comme serveur, il est judicieux de créer une partition /var, de même type que votre système.


  • une ou plusieurs partitions, montées dans /mnt//, de type « ext4 » si vous n'utilisez que GNU/Linux sur votre système, ou de type Windows (FAT, NTFS) si vous voulez que Microsoft Windows puisse aussi accéder à ces partitions, pour stocker divers données.


  • Ce partitionnement vous permettra par la suite de réinstaller un nouveau système GNU/Linux sans effacer vos données utilisateurs (qui sont sur une partition à part), ou au contraire d'effacer vos données utilisateurs sans affecter le système. Voici ce que peut donner ce partitionnement sur un disque de 7 gigaoctets :



















    Même après les avoir définies, vous pouvez modifier le point de montage, redimensionner ou supprimer des partitions grâce aux boutons situés sur la droite. Une fois le partitionnement fait et vérifié, cliquez sur « Terminer ». Un avertissement apparaît, cliquez sur « Ok ».

    Dans le cas où vous n'auriez pas de partition montée dans /mnt, un nouvel avertissement « Vous n'avez pas de partition d'échange, continuer malgré tout ? » apparaîtra. Si vous voulez lire les partitions d'un autre système d'exploitation ou d'un disque externe, cliquez sur « Précédent » et créez une nouvelle partition ; sinon cliquez sur « Suivant ».




















    Le formatage des partitions que vous avez créées commence. Il effacera toutes les données présentes sur la partition. Le formatage peut durer quelques minutes.

    Installation du système






















    Mandriva est prêt à installer le système sur votre ordinateur. Cliquez sur « Aucun » puis sur « Suivant ».




















    Mandriva vous propose maintenant de choisir l'environnement graphique dans laquelle vous voulez travailler. A moins que vous ayiez déjà une préférence, choisissez KDE : il est orienté débutant et il est très bien intégré dans Mandriva. Cliquez sur « Suivant ». L'installation démarre.




















    Suivant la puissance de votre machine, l'installation dure en moyenne entre 10 et 30 minutes.

    Configuration






















    Vous devez maintenant définir un mot de passe pour le compte root. Root est le super-utilisateur qui a tous les pouvoirs sur le système. Trouvez un mot de passe à la fois solide et pas trop difficile à mémoriser : lorsque vous voudrez faire des opérations « sensibles » sur le système, comme changer des paramètres du système ou installer de nouveau programmes, Mandriva vous demandera ce mot de passe. Cela peut paraitre contraignant, mais c'est un gage de sécurité.

    Il faut également créer un compte utilisateur pour l'utilisation courante de votre système. La modification des mots de passe est accompagnée de 3 icônes en fonction de la facilité à le deviner :

  • un cadenas ouvert rouge et c'est un mot de passe faible ;

  • * un cadenas fermé orange et votre mot de passe est relativement difficile à deviner ;
  • un cadenas fermé et vert et votre mot de passe est fort.


  • Choisissez un identifiant de connexion et un mot de passe, et cliquez sur « Suivant ».




















    Mandriva prépare alors le programme d'amorçage (boot). Vous n'êtes pas sollicité pour cette étape qui peut prendre quelques minutes.




















    Choisissez maintenant votre moniteur (écran d'ordinateur). Référez-vous à la notice dudit moniteur pour trouver ses caractéristiques. Dans le doute, laissez le choix de Mandriva par défaut. Cliquez sur « Suivant ».




















    La page Résumé vous permet de vérifier ou de définir votre configuration. Cliquez sur les boutons « Configurer » pour changer une configuration. Vérifiez bien la configuration « Interface graphique », vous pourrez tester que votre moniteur et votre carte vidéo sont correctement pris en compte. Spécifiez la configuration du réseau, par défaut, laissez la à « ethernet » (Mandriva va rechercher un serveur DHCP). Quand vous êtes prêt, cliquez sur « Suivant ».

    Finalisation























    Mandriva vous propose de mettre à jour votre système. Si vous avez une connexion internet, cela peut être judicieux, car les correctifs de bugs et de sécurité seront automatiquement installés. Quelle que soit votre décision, vous aurez toujours la possibilité de le faire par la suite.





















    L'installation est terminée ! Vous n'avez plus qu'à redémarrer votre ordinateur en cliquant sur « Redémarrage ». Enlevez le DVD ou le CD du lecteur, cliquez sur « Amorcer Mandriva Linux 2010 » et voici votre système Mandriva qui démarre ! Un message au premier démarrage vous informera que l'installation s'est bien passée, cliquez sur « Fermer ».

    mardi 22 décembre 2009

    Sécurité internet

    Le firewall (PAREFEU) définition scolaire



    Le mot firewall passe par plusieurs traduction en français: Pare feu ou encore barrière. Un firewall est un routeur spécifique qui se trouve à l'entrée d'une "entreprise" et dont le but est d'empêcher l'entré ou la sortie de paquet non autorisés par l'entreprise.
    Toute la question est de savoir comment reconnaître les paquets à accepter et à refuser. il est possible de travailler de deux fançons.
    • Interdire tous les paquets sauf ceux d'une liste prédéterminée
    • Accepter tous les paquets sauf ceux d'une liste prédéterminée
    En regle général, un firewall utilse la premiére solution en interdisant tous les paquets, sauf ceux qu'il est possible d'authentifier par rapport à une liste de paquets que l'on souhaite laisser entrer. Cela comporte toutefois un inconvénient: lorsqu'un client de l'entreprise se connecte sur un serveur à l'extérieur, la sortie par le firewall est autorisé puisque authentifiée. La reponse est généralement refusé, car le port sur lequel se présente cette réponse n'a aucune raison d'accepter ce message s'il est bloqué par mesure de sécurité. il faudrait que le serveur puisse s'authentifier et que le firewall lui permette d'accéder au port sur lequel se trouve la réponse.
    L'autre option est évidemment beaucoup plus dangereuse puisque tous les ports sont ouverts sauf ceux qui ont été bloqués par la société. Une attaque ne se trouve pas bloquée tant q'elle n'utilise pas les accès interdits.
    Le firewall permet donc de filtrer les flots de paquets. Cependant, le firewall ne doit pas empêcherle passage des flots utiles pour l'entreprise, flots que peut essayer d'utiliser un pirate.


    Le firewall (PAREFEU)définition par vulgarisation-informatique

    Un pare-feu est un logiciel ou un matériel qui se charge d'établir une barrière entre vous et le monde extérieur pour faire barrage aux pirates.

    Rappelons qu'un ordinateur utilise des ports pour communiquer : par exemple, le port 80 est utilisé pour afficher des pages web. Il y a plus de 65000 ports (65536 exactement), soit autant de portes d'entrée dans votre ordinateur qu'un firewall se doit de protéger !

    Un pare-feu peut vous permettre de "fermer" les ports et de cette manière, vous rendre invulnérable (ou presque). Il peut aussi restreindre le trafic sortant et applique des restrictions au trafic entrant.

    Le firewall protége l'ordinateur de cette manière :
    Protéger son ordinateur est vital. En effet, les pirates cherchent non seulement à dérober vos données, mais aussi à voler vos mots de passe, usurper votre identité et causer des dommages à d'autres ordinateurs ou sites web à partir de votre PC.

    Le pirate peut également installer des logiciels pirates sur votre PC et en faire la distribution à ses "confrères" qui viendront se servir chez vous, sur votre ordinateur.

    Autre définition: commentcamarche.net

    Les types de pare-feu :

    * Le pare-feu logiciel et personnel : il est simple d'utilisation. C'est un logiciel qui contrôle les données entrantes et sortantes. Sachez que Windows XP dispose d'un pare-feu. Nous verrons plus bas comment l'activer. Un firewall logiciel coûte relativement peu cher.
    * Le routeur : il masque votre adresse IP et vos ports. C'est un périphérique matériel accompagné d'un logiciel qu'il faut mettre souvent à jour. Il est déjà plus cher que le pare-feu personnel. Ce n'est pas un vrai pare-feu dans ce sens que ce n'est pas sa fonction première.
    * Le pare-feu matériel : Il est destiné aux entreprises.

    • Meilleur récapitulatif des firewall indiquant leur % d'efficacité et s'ils sont gratuits ou non.

    D'après ce comparatif de firewall gratuit, on choisit en premier Comodo Firewall (un pare-feu personnel gratuit), puis :

    • Online Armor Personal Firewall
    • Netchina S3 2008
    • PC Tools Firewall Plus


    Testez la sécurité de votre ordinateur

  • check.sdv.fr

  • zebulon.fr
  • samedi 19 décembre 2009

    Réseau

    Configurer une livebox



    Pré-requis à l'accès à l'interface de configuration de la Livebox

    Pour accéder à l’interface de la Livebox, il est nécessaire :

    * de vérifier que votre Livebox est allumée
    * de connecter votre ordinateur à la Livebox (en USB, en wi-fi ou de préférence en Ethernet).

    Si vous vous connectez par Ethernet, soyez bien assuré que vous êtes connecté sur le port Ethernet rouge de la Livebox.

    Modes d'accès à l’interface de configuration

    Vous avez plusieurs moyens pour accéder à l'interface de configuration de la Livebox :

    1 Lancez votre navigateur Internet (par exemple, Internet Explorer, Mozilla Firefox).
    Saisissez dans la barre d'adresse, l'adresse IP de l'interface de configuration de la Livebox : http://192.168.1.1






    Page d’accueil de l'interface de configuration de la Livebox mini et de la Livebox pro V2


    Une fois votre navigateur lancé, saisissez l'adresse "livebox" ou " 192.168.1.1" dans la barre d'adresse de votre navigateur. La page d'accueil de l'interface de configuration s'affiche alors.
    Cette page vous permet de connaître la nature des raccordements de vos différents ordinateurs















    Cliquez sur l'onglet "configurer" ou sur le bouton "Accéder".
    Vous devrez alors saisir le mot de passe d'administration de votre Livebox qui, par défaut, est "admin" puis cliquez sur le bouton "S'identifier"














    Page d’accueil de l'interface de configuration de la Livebox Sagem


    Vous devez ensuite saisir le nom d'utilisateur et mot de passe d'accès à la Livebox qui sont par défaut :
    - Utilisateur : admin
    - Mode de passe : admin













    La page d'accueil de l'interface de configuration de la Livebox Sagem se présente de la manière suivante :




















    ADSL comment ça marche

    AVANT l'ADSL :

    Une ligne téléphonique en cuivre vous relie au central téléphonique de France -Télécom. Vous pouvez utiliser cette ligne SOIT pour téléphoner, SOIT pour vous connecter à Internet (par l'intermédiaire d'un modem).





    AVEC l'ADSL :

    La MÊME ligne téléphonique en cuivre vous relie au central téléphonique de France -Télécom. Vous installez chez vous un filtre qui sépare l'ADSL du téléphone. Vous pouvez TELEPHONER ET VOUS CONNECTER A INTERNET EN MÊME TEMPS. Les débits montants (de votre ordinateur à Internet) et descendants (d'Internet à votre ordinateur) dépassent largement tout ce que vous avez connu avec votre ligne classique (téléchargement 10 fois plus rapide par exemple...). Plus vous êtes loin du central téléphonique, plus la vitesse diminue (distance maxi = 6Km).





    Débit descendant (download) et débit montant (upload), qu'est ce que c'est ?



    Il faut savoir que le débit est asymétrique : la vitesse de réception des données est supérieures à la vitesse d'envoi.

    Vous downloadez des fichiers (débit descendant) et vous uploadez des fichiers (débit montant). Votre choix de débit détermine donc votre capacité à downloader et à uploader.

    Le débit descendant (download ou de l'internet vers votre machine) :
    Il est plus important que le débit montant (upload ou de votre machine vers l'internet) car la plupart des applications que vous utilisez (le mail, l'affichage des pages web, le téléchargement, etc...) utilisent essentiellement le débit descendant.

    Donc quand l'offre commerciale des fournisseurs ADSL affiche "ADSL vitesse 20Mo" par exemple, il s'agit du débit descendant.

    Il faut retenir que l'ADSL ne permet pas des débits montants aussi important que les débits descendants. Le plus souvent, les débits montants maximums (upload) proposés par les offres vont de 128Kbps à 1Méga (environ).

    Le débit montant (upload) :
    Il est inférieur au débit descendant (download), et aussi important. Il détermine la vitesse d'envoie de vos fichiers.

    Tester votre bande passante

    dimanche 25 octobre 2009

    Monter et configurer un pc


    Installation du processeur

    L'installation du processeur a lieu au niveau du socket (support qui l'accueille sur la carte mère). Ce socket est accompagné d'un petit levier qu'il faut lever avant de placer le processeur (dans le cas des Processeurs Intel, le levier dégage également un rabat métallique). Une fois cette opération effectuée, il faut saisir le processeur par ses bords et le placer dans le socket. Attention, il existe un sens. Pour éviter tout problème lié à ce sujet, il existe sur tous les processeurs un détrompeur, qu'il soit physique comme sur les processeurs Intel en Socket 775 avec des encoches arrondies, ou graphique avec un triangle doré, si bien que vous ne pouvez pas insérer le processeur dans le socket s'il n'est pas dans le bon sens. Pour insérer le processeur dans le socket, il ne faut surtout pas forcer (vous risqueriez de tordre les broches de connexion), cela doit rentrer tout seul « comme dans du beurre ».



    Le processeur placé en photos - on notera la petite encoche du processeur en guise de détrompeur

    Une fois que vous avez trouvé le bon sens et que le processeur est rentré dans le Socket, vous devez abaisser le levier (pour les processeurs Intel, on rabat au préalable le mécanisme de rétention - voir la vidéo plus bas). Cette phase est à présent terminée et nous allons nous atteler de suite à placé le ventirad qui permettra de refroidir notre petite pièce de silicium.


    Pâte thermique




    Les utilisateurs qui souhaitent se lancer dans l'overclocking « à petite échelle » envisageront sans doute de remplacer la pâte thermique préinstallée par le fabricant par une pâte de meilleure qualité, qui assurera une meilleure dissipation de la chaleur et permettra de monter plus haut en fréquence. Pour rappel, la pâte thermique permet d'améliorer la conductivité entre le processeur et le radiateur, la plus connue d'entre elle se nomme « Arctic Silver ». La pâte thermique se place directement sur le processeur, une petite noisette suffit. Vous pouvez ensuite l'étaler sur l'ensemble du processeur avec l'aide d'un mouchoir par exemple. Le but étant d'avoir une fine pellicule de pâte (environ l'épaisseur d'une feuille de papier) sur l'ensemble de la plaque métallique du processeur.

    Si vous choisissez de placer de la pâte thermique, pensez également à enlever du radiateur, avant son installation (voir partie suivante), le petit carré de pâte qu'on trouve placé en dessous de celui-ci. Ce petit carré, nommé Pad thermique, est généralement de couleur rose (on l'appelle également « malabar » pour cette raison). Pour l'ôter, il est conseillé d'utiliser une règle en plastique ou tout autre matériau en plastique rigide. Il suffit alors de gratter le « malabar » avec l'objet plastique de votre choix. Une fois cette opération réalisée, vous pouvez nettoyer la surface du radiateur avec un peu d'éther ou d'alcool. Veillez toutefois à ce que la surface du radiateur soit bien propre et sèche avant de le fixer.

    Placer et brancher le ventilateur du processeur




    Un système de refroidissement composé d'un radiateur et d'un ventilateur est désormais indispensable sur les processeurs modernes. Avant de détailler l'installation de notre ventilateur Intel (fourni avec le processeur), il est important de préciser que la phase/méthode d'installation peut varier d'un ventilateur à l'autre. Le plus simple est de se référer à la notice pour savoir comment s'y prendre. Rassurez-vous, cela ne demande pas de compétence particulièrement pointue et généralement l'installation se fait sans outil.

    Pour l'installation de notre ventilateur Intel pour processeur Core 2 Duo (même système que pour les Pentium 4 ou Pentium D), il faut placer le radiateur sur le processeur. Les quatre « picots de fixation » doivent être en face des trous de la carte mère et le câble d'alimentation du ventilateur doit se trouver le plus près possible du connecteur (trois/quatre broches – également nommé CPU FAN – voir la notice de la carte mère pour le situer) de votre carte mère.

    Une fois en place, il faut fixer le radiateur/ventilateur en appuyant avec fermeté sur les différents picots, placés aux quatre coins du produit. Le radiateur/ventilateur fixé à la carte mère, il faut brancher l'embout du câble d'alimentation du ventilateur au connecteur « CPU FAN » de la carte mère. Il y a un sens dans lequel il faut le brancher, mais un détrompeur fait (heureusement) en sorte qu'il ne soit pas possible de le brancher dans la mauvaise position.


    Source de la vidéo : Clubic


    À noter, quelques (rares) ventilateurs très haut de gamme demandent à être montés sur la carte mère avant que celle-ci soit placée dans le boîtier. Ces ventilateurs s'adressent aux utilisateurs avertis puisqu'il est parfois également nécessaire de retirer certaines parties de la carte mère (comme les plaques de cuivre placées à l'arrière du socket).

    Installation des barrettes de mémoire



    Une fois le processeur mis en place, il est temps de s'attaquer aux barrettes de mémoire vive, qui prennent généralement place dans la partie supérieure de la carte mère. Les emplacements, de couleur vive, sont aisément reconnaissables aux fixations blanches pivotantes qui les habillent de chaque côté. Ces fixations s'ouvrent vers l'extérieur pour accueillir les modules de mémoire, et se referment automatiquement une fois la barrette enfichée. Qu'il s'agisse de DDR ou de DDRII, les barrettes de mémoire disposent d'un dispositif qui évite à l'utilisateur de les insérer dans le mauvais sens. Il prend la forme d'une encoche au niveau des pistes qui assurent la jonction avec le connecteur-mémoire de la carte mère. Placé dans la partie centrale de la barrette, il sépare celle-ci en deux moitiés de taille inégale. Si l'on positionne la mémoire dans le mauvais sens, cette encoche ne coïncidera pas avec le détrompeur présent dans le réceptacle de la barrette.



    Attention : la barrette mémoire ne s'insère que dans un seul sens. Sur les photos ci-contre : la barrette dans le mauvais sens, la barrette dans le bon sens et la barrette insérée

    Si votre barrette ne rentre pas toute seule dans le logement, inutile de forcer, elle est probablement dans le mauvais sens. En revanche, une fois qu'elle est insérée, il est indispensable d'exercer une pression appuyée sur la barrette afin qu'elle prenne parfaitement place au sein du port mémoire. Lors de cette pression, les fixations pivotantes se refermeront d'un côté et de l'autre, fixant la mémoire dans son logement. Vous rencontrerez une certaine résistance qui n'a rien d'anormal. Prenez soin d'exercer une pression verticale, afin de ne pas risquer d'endommager les barrettes mémoire.


    Source de la vidéo : Clubic


    La quasi-totalité des Cartes mères actuelles prennent en charge une technologie appelée dual channel (double canal), qui permet d'augmenter la bande passante effective de la mémoire vive du système lorsque deux barrettes de capacité identique sont insérées. La plupart du temps, une carte mère propose deux paires d'emplacements mémoire, pour un total de quatre logements. Afin d'être sûr de profiter du double canal, il est conseillé de placer chacune de ses barrettes sur le premier port de chaque paire, comme illustré ici.

    Mise en place de la carte graphique


    Mise en place de la carte graphique dans le port PCI-Express L'insertion proprement dite ne présente aucune difficulté, la carte ne pouvant guère être insérée dans le mauvais sens. Il faudra prendre soin de glisser l'extrémité de la plaque métallique qui assure la jonction avec l'arrière du boîtier entre les parois de ce dernier et le rebord de la carte mère sans érafler la surface de cette dernière. Une fois la carte positionnée dans son logement,il suffit d'exercer une pression verticale pour que l'ergot de fixation dont nous parlions au paragraphe précédent remonte en position fermée.

    Reste ensuite à fixer la carte graphique au boîtier.
    Pour ce faire, les boîtiers récents ou haut de gamme proposent en général un système pivotant qui s'ouvre pour laisser passer la carte et se referme pour la fixer solidement dans son logement. D'autres boîtiers, plus anciens ou moins prestigieux, requièrent l'utilisation d'une simple vis.



    Source de la vidéo : Clubic



    Montage des disques durs


    Les disques durs prennent place à l'avant du boîtier, dans la partie inférieure. Une série d'emplacements dits « 3,5 pouces » leur est dévolu. L'orientation des disques durs et leur système de fixation varient parfois d'un boîtier à l'autre, mais quel que soit le cas de figure, la tâche n'a rien d'insurmontable. Certains boîtiers disposent d'un système de fixation basique à vis, les disques durs étant toujours dotés des trous adéquats, tandis que d'autres comme celui que nous utilisons pour notre exemple, proposent un système sans la moindre vis.

    Ici, les logements destinés aux disques durs nous font directement face. Il suffira donc de glisser le disque dur dans l'un des emplacements disponibles en prenant soin d'orienter le disque de façon à ce que l'arrière, autrement dit la face qui embarque la connectique, nous « regarde » et ressorte du logement. Auparavant, il aura fallu fixer de chaque côté du disque dur les rails qui permettront à ce dernier de coulisser dans son logement. Pour installer ces derniers, il suffit d'enfoncer les tiges de fixation de ces rails dans les ouvertures qui ornent les côtés du disque dur.





    L'emplacement n'a guère d'importance, mais il vaut mieux que votre disque soit situé au niveau de l'éventuel ventilateur qui équipe la face avant de votre boîtier afin de profiter du flux d'air généré par ce dernier. Rappelez-vous que la chaleur est l'ennemie des disques durs comme de la plupart des composants informatiques. Une fois le disque inséré dans son logement, il convient de le fixer correctement afin qu'il ne puisse se déplacer ou vibrer excessivement : un disque dur est composé de pièces mécaniques animées de mouvements très rapides. Ici, il faut tirer la languette blanche présente sur le côté de la cage à disques durs. On la « verrouille » par la suite en appuyant vers le bas sur le petit curseur mobile pour que notre disque soit bien fixé au boîtier.


    Source de la vidéo : Clubic

    lundi 19 octobre 2009

    Truc et Astuce

    Sauvegarder ses mails avec Gmail Backup


    Gmail Backup est un logiciel pour Windows, Mac et Linux qui permet de faire une sauvegarde intégrale de son compte Gmail sur le disque dur de son pc. Les mails sont sauvegardés au format EML et sont lisibles par Outlook, windows Mail ou tout autre logiciel de messagerie. Il est peu probable que vos mails soient en danger sur le serveur de Google mais un crash ou un piratage sont tout à fait possible...surtout de nos jours!





    Sauvegarder et restaurer ses marque-pages sous Firefox


    Si comme moi vous additionnez compulsivement les marque-pages (favoris/bookmarks) et que vous y tenez comme à la prunelle de vos yeux, n'hésitez pas à les sauvegarder régulièrement. Vous pourrez ensuite les réintégrer rapidement dans une nouvelle installation de votre naviguateur ou lors de la création d'un nouveau profil.






    Comment envoyer un email avec des photos


    Vous avez 5, 10, 30, ou + de 50 photos à envoyer à vos proches par email ? Ne foncez pas tête baissée avant de vous lancer dans cette opération ! Pour que l’envoi de photos par mail se passe correctement pour vous et pour celui qui recevra les fichiers, il convient de se poser quelques questions afin de bien préparer vos pièces-jointes…

    Au sommaire de ce tuto :

    1. Les questions à se poser avant d’envoyer des photos par email
    2. VSO Image resizer pour simplifier l’envoi de photos par email
    3. Envoyer moins de 5 photos par mail
    4. Envoyer de 5 à 30 photos par mail
    5. Envoyer plus de 10 Mo photos à une adresse email




    mercredi 16 septembre 2009

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